Résume Optique physique smp s4
INTERFÉRENCES LUMINEUSES
1. NOTION DE « VIBRATION LUMINEUSE »1.1. Théorie scalaire de la lumière
· La lumière est donc un champ électromagnétique ( , EBrr) ; certaines expériences montrent que
les détecteurs usuels (rétine, pellicule photo, capteurs CCD…) sont sensibles au seul champ
électrique fi à ce stade, il suffit d’un seul champ vectoriel pour décrire la vibration lumineuse.
· Dans la plupart des expériences d’interférences et de diffraction que nous allons étudier, les
« rayons lumineux » (= tubes élémentaires du vecteur de Poynting) qui vont interférer seron
quasi-parallèles : en un point M donné, les différents champs électriques (correspondant aux
différents rayons) seront donc tous pratiquement contenus dans un même plan perpendiculaire à
la direction commune de propagation fi on pourra toujours les décomposer sur des axes
communs (pour 2 ondes de même polarisation rectiligne, l’axe de projection est unique).
· La «vibration lumineuse » sera donc considérée comme une grandeur scalaire, la projection
sur un axe commun du vecteur champ électrique : cette grandeur sera notée ( ,) sMt .
Rq : pour des ondes non polarisées rectilignement, il suffira de considérer 2 grandeurs scalaires
correspondant à 2 axes de projection perpendiculaires entre eux.
· Les détecteurs usuels sont dits « QUADRATIQUES » : ils sont sensibles à la valeur moyenne
temporelle (sur des temps très supérieurs à la période des ondes lumineuses qui est de l’ordre de
quelques 1510- seconde) du carré du module des champs électriques.
· On définit alors la grandeur « ECLAIREMENT » ou « INTENSITE LUMINEUSE » par :
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