Résume Optique géométrique smpc s2 smai s2
1- Principe de l’optique géométrique :
Dans l’étude de la lumière rencontrant les objets d’échelle macroscopique, la petitesse des longueurs d’onde
(λ~10-7
m) du visible vis à vis des grandeurs des objets qu’elle rencontre (L~1cm et plus) a permis d’élaborer
une théorie géométrique de la propagation des ondes lumineuses appelée "L’optique géométrique".
On appelle rayon lumineux la droite ou portion de droite suivi par la lumière. Un faisceau lumineux est
l’ensemble des rayons émis par une même source. Un faisceau lumineux peut être divergent si les rayons
lumineux s’éloignent les uns des autres, convergent s’ils se rapprochent, parallèle si les faisceaux qui le
constituent sont parallèles entre eux.
(λ~10-7
m) du visible vis à vis des grandeurs des objets qu’elle rencontre (L~1cm et plus) a permis d’élaborer
une théorie géométrique de la propagation des ondes lumineuses appelée "L’optique géométrique".
On appelle rayon lumineux la droite ou portion de droite suivi par la lumière. Un faisceau lumineux est
l’ensemble des rayons émis par une même source. Un faisceau lumineux peut être divergent si les rayons
lumineux s’éloignent les uns des autres, convergent s’ils se rapprochent, parallèle si les faisceaux qui le
constituent sont parallèles entre eux.
L’optique géométrique est basée sur trois principes :
Principe 1- Propagation rectiligne : Dans un milieu homogène, transparent et isotrope, les rayons lumineux se
propagent en lignes droites
Principe 2- Indépendance des rayons lumineux : Il existe des rayons lumineux qui restent indépendants les
uns des autres (pas d’interaction entre eux).
Principe.3. Les rayons lumineux, traversant la surface de séparation entre deux milieux différents, obéissent aux
propagent en lignes droites
Principe 2- Indépendance des rayons lumineux : Il existe des rayons lumineux qui restent indépendants les
uns des autres (pas d’interaction entre eux).
Principe.3. Les rayons lumineux, traversant la surface de séparation entre deux milieux différents, obéissent aux
lois de Snell-Descartes.
L’expérience schématique ci-dessus illustre les deux premiers principes. Deux sources ponctuelles S et S’
émettent de la lumière qui traversent les ouvertures A et A’ et viennent éclairer les écrans E et E’. On vérifie quela zone éclairée sur chaque écran est homothétique1 de l’ouverture correspondante A ou A’. Le centre
d’homothétie étant S et S’. Ceci confirme la validité du premier principe. Si maintenant on modifie l’ouverture de A, on constate que l’éclairement en M ne varie pas. C’est à dire que le fait qu’un rayon tel que R’, passe ou ne passe pas à travers A, ne modifie en rien la propagation du rayon R.
émettent de la lumière qui traversent les ouvertures A et A’ et viennent éclairer les écrans E et E’. On vérifie quela zone éclairée sur chaque écran est homothétique1 de l’ouverture correspondante A ou A’. Le centre
d’homothétie étant S et S’. Ceci confirme la validité du premier principe. Si maintenant on modifie l’ouverture de A, on constate que l’éclairement en M ne varie pas. C’est à dire que le fait qu’un rayon tel que R’, passe ou ne passe pas à travers A, ne modifie en rien la propagation du rayon R.
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